History of The Reign of Philip The Second King of Spain - BestLightNovel.com
You’re reading novel History of The Reign of Philip The Second King of Spain History of the Reign of Philip the Second, King of Spain Part 68 online at BestLightNovel.com. Please use the follow button to get notification about the latest chapter next time when you visit BestLightNovel.com. Use F11 button to read novel in full-screen(PC only). Drop by anytime you want to read free – fast – latest novel. It’s great if you could leave a comment, share your opinion about the new chapters, new novel with others on the internet. We’ll do our best to bring you the finest, latest novel everyday. Enjoy
[657] "And everywhere great endeavors were used to deliver the imprisoned, as soon as it was known how they were privately made away in the prisons: for the inquisitors not daring any longer to carry them to a public execution, this new method of despatching them, which the king himself had ordered, was now put in practice, and it was commonly performed thus: They bound the condemned person neck and heels, then threw him into a tub of water, where he lay till he was quite suffocated." Brandt, Reformation in the Low Countries, vol. I. p. 155.
[658] Ibid., tom. I. p. 154.
[659] Correspondance de Philippe II., tom. I. p. 361 et alibi.
[660] "Tout vat de demain a demain, et la princ.i.p.ale resolution en telles choses est de demeurer perpetuellement irresolu." Archives de la Maison d'Orange-Na.s.sau, tom. I. p. 426.
[661] "Il y en a qui sont plus Roys que le Roy." Ibid., ubi supra.
[662] "Le Roi aura bien de la peine a se montrer homme." Ibid., ubi supra.
[663] Correspondance de Philippe II., tom. I. p. 358.
[664] "Le Roi peut etre certain que, s'il accorde que les edits ne s'executent pas, jamais plus le peuple ne souffrira qu'on chatie les heretiques; et les choses iront ainsi aux Pays-Bas beaucoup plus mal qu'en France." Correspondance de Philippe II., tom. I. p. 323.
[665] Ibid., tom. I. p. 371.
[666] Archives de la Maison d'Orange-Na.s.sau, tom. I. p. 246.
[667] "Entendant seullement a mez affaires, ne bougeant de ma chambre synon pour proumener, a faire exercice a l'eglise, et vers Madame, et faisant mes depesches ou je doibtz correspondre, sans bruyct." Papiers d'Etat de Granvelle, tom. IX. p. 639.
[668] Correspondance de Philippe II., tom. I. p. 326.
[669] "Il lui suffit, pour se contenter d'etre ou il est, de savoir que c'est la volonte du Roi, et cela lui suffira pour aller aux Indes, on en quelque autre lieu que ce soit, et meme pour se jeter dans le feu."
Ibid., p. 301.
[670] Ibid., p. 380.
[671] Correspondance de Philippe II., tom. I. p. 396.
[672] Ibid., p. 372.--Hopper, Recueil et Memorial, p. 57.
[673] "Car, quant a l'inquisition, mon intention est qu'elle se face par les inquisiteurs, comm'elle s'est faicte jusques a maintenant, et comm'il leur appertient par droitz divins et humains." Correspondance de Philippe II., tom. I., "Rapport," p. cxxix, note.
[674] Ibid., ubi supra.
[675] This letter was dated the twentieth of October. All hesitation seems to have vanished in a letter addressed to Granvelle only two days after, in which Philip says, "As to the proposed changes in the government, there is not a question about them." "Quant aux changements qu'on lui a ecrit devoir se faire dans le gouvernement, il n'en est pas question." Correspondance de Philippe II., tom. I. p. 375.
[676] Doc.u.mentos Ineditos, tom. IV. p. 333.
[677] "Dieu scait que visaiges ils ont monstrez, et que mescontentement ils ont, voyans l'absolute volunte du Roy." Archives de la Maison d'Orange-Na.s.sau, tom. I. p. 442.
[678] Hopper, Recueil et Memorial, p. 59.
[679] "Qua conclusione accepta, Princeps Auriacencis cuidam in aurem dixit (qui pst id retulit) quasi laetus gloriabundusque: visuros nos brevi egregiae tragediae initium." Vita Viglii, p. 45.
[680] "Une declaration de guerre n'aurait pas fait plus d'impression sur les esprits, que ces depeches, quand la connaissance en parvint au public." Vandervynckt, Troubles des Pays-Bas, tom. II. p. 94.
[681] "Se comienza a dar esperanza al pueblo de la libertad de conciencia, de las mudanzas del gobierno." Renom de Francia, Alborotos de Flandes, MS.
"Some demand a mitigation of the edicts; others," as Viglius peevishly complains to Granvelle, "say that they want at least as much toleration as is vouchsafed to Christians by the Turks, who do not persecute the enemies of their faith as we persecute brethren of our own faith, for a mere difference in the interpretation of Scripture!" (Archives de la Maison d'Orange-Na.s.sau, tom. I, p. 287.) Viglius was doubtless of the opinion of M. Gerlache, that for Philip to have granted toleration would have proved the signal for a general ma.s.sacre. Vide Hist. du Royaume des Pays-Bas, tom. I. p. 83.
[682] "On defiait les Espagnols de trouver aux Pays-Bas ces stupides Americains et ces miserables habitans du Perou, qu'on avait egorges par millions, quand on avait vu qu'ils ne savaient pas se defendre."
Vandervynckt, Troubles des Pays-Bas, tom. I. p. 97
[683] See a letter of Morillon to Granvelle, January 27, 1566, Archives de la Maison d'Orange-Na.s.sau, Supplement, p. 22.
[684] Correspondance de Philippe II., tom. I. p. 390.
[685] "Il a appris avec peine que le contenu de sa lettre, datee du bois de Segovie, a ete mal accueilli aux Pays-Bas, ses intentions ne tendant qu'au service de Dieu et au bien de ces Etats, comme l'amour qu'il leur porte l'y oblige." Ibid., p. 400.
[686] Historians have usually referred the origin of the "Union" to a meeting of nine n.o.bles at Breda, as reported by Strada. (De Bello Belgico, tom. I. p. 208.) But we have the testimony of Junius himself to the fact, as stated in the text; and this testimony is accepted by Groen, who treads with a caution that secures him a good footing even in the slippery places of history. (See Archives de la Maison d'Orange-Na.s.sau, tom. II. p. 2.) Brandt also adopts the report of Junius. (Reformation in the Low Countries, tom. I. p. 162.)
[687] "Inique et contraire a toutes loix divines et humaines, surpa.s.sant la plus grande barbarie que oncques fut practiquee entre les tirans."
Archives de la Maison d'Orange-Na.s.sau, tom. II. p. 3.
One might imagine that the confederates intended in the first part of this sentence to throw the words of Philip back upon himself,--"Comme il leur appertient par droitz divins et humains." Depeche du Bois de Segovie, Octobre 17, 1565.
[688] "Affin de n'estre exposez en proye a ceulx qui, soubs...o...b..e de religion, voudroient s'enrichir aux despens de nostre sang et de nos biens." Archives de la Maison d'Orange-Na.s.sau, tom. II. p. 4.
[689] Vandervynckt, Troubles des Pays-Bas, tom. II. p. 134.
[690] "De sorte que si un Prestre, un Espagnol, ou quelque mauvais garnement veut mal, ou nuyre a autruy, par le moyen de l'Inquisition, il pourra l'accuser, faire apprehender, voire faire mourir, soit a droit, soit a tort." Supplement a Strada, tom. II. p. 300.
[691] "L'un des beaux caracteres de ce temps." Borguet, Philippe II. et la Belgique, p. 43.
[692] Ibid., ubi supra.
[693] Strada, De Bello Belgico, tom. I. p. 209.
[694] "Mettant le tout en hazard de venir es mains de nos voisins."
Correspondance de Guillaume le Taciturne, tom. II. p. 109.
[695] "J'aimerois mieulx, en cas que Sadicte Majeste ne le veuille dilaier jusques a la, et des a present persiste sur cette inquisition et execution, qu'elle commisse quelque autre en ma place, mieulx entendant les humeurs du peuple, et plus habile que moi a les maintenir en paix et repos, pl.u.s.tost que d'encourir la note dont moi et les miens porrions estre souilles, si quelque inconvenient advint au pays de mon gouvernement, et durant ma charge." Ibid., ubi supra.
[696] "Addidere aliqui, nolle se in id operam conferre, ut quinquaginta aut s.e.xaginta hominum millia, se Provincias administrantibus, igni concrementur." Strada, De Bello Belgico, tom. I. p. 203.
[697] Correspondance de Guillaume le Taciturne, tom. II. p. 112.
[698] Correspondance de Philippe II., tom. I. p. 378.
[699] Archives de la Maison d'Orange-Na.s.sau, tom. II. p. 33.
[700] "A ce propos le duc d'Albe repondit que dix mille grenouilles ne valoient pas la tete d'un saumon." Sismondi, Hist. des Francais, tom.
XVIII. p. 447.
Davila, in telling the same story, reports the saying of the duke in somewhat different words:--"Diceva che ... besognava pescare i pesci grossi, e non si curare di prendere le ranocchie." Guerre Civili di Francia, (Milano, 1807,) tom. I. p. 341.