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History of The Reign of Philip The Second King of Spain History of the Reign of Philip the Second, King of Spain Part 53

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[62] Yet the emperor seems to have written in a somewhat different style to his amba.s.sador at the English court. "Desfaillant la force pour donner a.s.sistance a nostre-dicte cousine comme aussy vous scavez qu'elle deffault pour l'empeschement que l'on nous donne du coustel de France, nous ne veons aulcun apparent moyen pour a.s.sheurer la personne de nostre-dicte cousine." L'Empereur a ses Amba.s.sadeurs en Angleterre, 11 juillet, 1553, Papiers d'Etat de Granvelle, tom. IV, p. 25.

[63] Charles, in a letter to his amba.s.sador in London, dated July 22, 1553, after much good counsel which he was to give Queen Mary, in the emperor's name, respecting the government of her kingdom, directs him to hint to her that the time had come when it would be well for the queen to provide herself with a husband, and if his advice could be of any use in the affair, she was entirely welcome to it. "Et aussy lui direz-vous qu'il sera besoin que pour etre seustenue audit royaulme, emparee et deffendue, mesmes en choses que ne sont de la profession de dames, il sera tres-requis que tost elle prenne party de mariaige avec qui il luy semblera estre plus convenable, tenant regard a ce que dessus; et que s'il lui plait nous faire part avant que s'y determiner, nous ne fauldrons de, avec la sincerite de l'affection que lui portons, luy faire entendre liberalement, sur ce qu'elle voudra mettre en avant, nostre advis, et de l'ayder et favoriser en ce qu'elle se determinera."

L'Empereur a ses Amba.s.sadeurs en Angleterre, 22 juillet, 1553, Ibid., p.

56.

[64] Granvelle, who owed no good-will to the minister for the part which he afterwards took in the troubles of Flanders, frequently puns on Kenard's name, which he seems to have thought altogether significant of his character.

[65] "Quant a Cortenay, vous pourriez bien dire, pour eviter au propoz mencionne en voz lettres, que l'on en parle, pour veoir ce qu'elle dira; mais gardez-vous de luy tout desfaire et mesmes qu'elle n'aye descouvert plus avant son intention; car si elle y avoit fantasie, elle ne layroit (si elle est du naturel des aultres femmes) de pa.s.ser oultre, et si se ressentiroit a jamais de ce que vous luy en pourries avoir dit. Bien luy pourries-vous toucher des commoditez plus grandes que pourroit recepvoir de mariaige estrangier, sans trop toucher a la personne ou elle pourroit avoir affection." L'Eveque d'Arras a Renard. 14 aout, 1553, Ibid., p.

77.

[66] "Quant je luy fiz l'ouverture de mariaige, elle se print a rire, non une foys ains plusieurs foys, me regardant d'un il signifiant l'ouverture luy estre fort aggreable, me donnant a.s.sez a cognoistre qu'elle ne taichoit ou desiroit mariaige d'Angleterre." Renard a l'Eveque d'Arras, 15 aout, 1558, Ibid., p. 78.

[67] "Et, sans attendre la fin de ces propoz, elle jura que jamais elle n'avoit senti esguillon de ce que l'on appelle amor, ny entre en pens.e.m.e.nt de volupte, et qu'elle n'avoit jamais pense a mariaige sinon depuys que a pieu a Dieu la promovoir a la couronne, et que celluy qu'elle fera sera contre sa propre affection, pour le respect de la chose publicque; qu'elle se tient toute a.s.suree sa majeste aura consideration a ce qu'elle m'a dict et qu'elle desire l'obeir et complaire en tout et par tout comme son propre pere; qu'elle n'oseroit entrer en propoz de mariaige avec ceulx de son conseil, que fault, le cas advenant, que vienne de la meute de sa majeste." Renard a l'Eveque d'Arras, 8 septembre, 1553, Ibid., p. 98.

[68] "Vous la pourrez a.s.seurer que, si nous estions en caige et disposition telle qu'il conviendroit, et que jugissions que de ce peut redonder le bien de ses affaires, nous ne vouldrions choysir aultre party en ce monde plus tost que de nous alier nous-mesmes avec elle, et seroit bien celle que nous pourrait donner austant de satisfaction."

L'Empereur a Renard, 20 septembre, 1553, Ibid., p. 112.

[69] Ibid., pp. 108-116.

Simon Renard, the imperial amba.s.sador at this time at the English court, was a native of Franche Comte, and held the office of _maitre aux requetes_ in the household of the emperor. Renard, though a man of a factious turn, was what Granvelle's correspondent, Morillon, calls "_un bon politique_," and in many respects well suited to the mission on which he was employed. His correspondence is of infinite value, as showing the Spanish moves in this complicated game, which ended in the marriage of Mary with the heir of the Castilian monarchy. It is preserved in the archives of Brussels. Copies of these MSS., amounting to five volumes folio, were to be found in the collection of Cardinal Granvelle at Besancon. A part of them was lent to Griffet for the compilation of his "Nouveaux Eclairciss.e.m.e.ns sur l'Histoire de Marie Reine d'Angleterre." Unfortunately, Griffet omitted to restore the MSS.; and an hiatus is thus occasioned in the series of the Renard correspondence embraced in the Granvelle Papers now in process of publication by the French Government. It were to be wished that this hiatus had been supplied from the originals, in the archives of Brussels. Mr. Tytler has done good service by giving to the world a selection from the latter part of Renard's correspondence, which had been transcribed by order of the Record Commission from the MSS. in Brussels.

[70] "Car si, quant a soy, il luy semble estre chose que ne luy convint ou ne fut faisable, il ne seroit a propoz, comme elle l'entend tres-bien, d'en faire declaracion a qui que ce soit; mais, en cas aussi qu'elle jugea le party luy estre convenable et qu'elle y print inclinacion, si, a son advis, la difficulte tumba sur les moyens, et que en iceulx elle ne se peut resoldre sans la partic.i.p.ation d'aulcuns de son conseil, vous la pourriez en ce cas requerir qu'elle voulut prendre de vous confiance pour vous declairer a qui elle en vouldroit tenir propoz, et ce qu'elle en vouldroit communicquer et par quelz moyens."

L'Empereur a Renard, 20 septembre, 1553, Ibid., p. 114.

[71] The Spanish match seems to have been as distasteful to the Portuguese as it was to the English, and probably for much the same reasons. See the letter of Granvelle, of August 14, 1553, Ibid., p. 77.

[72] "Les estrangiers, qu'ilz abhorrissent plus que nulle aultre nacion." L'Empereur a Renard, 20 septembre, 1553, Ibid., p. 113.

[73] "Et si la difficulte se treuvoit aux conseillers pour leur interetz particulier, comme plus ilz sont interessez, il pourroit estre que l'on auroit meilleur moyen de les gaigner, a.s.sheurant ceulz par le moyen desquelz la chose se pourroit conduyre, des princ.i.p.aulz offices et charges dudict royaulme, voyre et leur offrant appart sommes notables de deniers ou accroissance de rentes, privileges et prerogatives."

L'Empereur a Renard, 20 septembre, 1553, Ibid., p. 113.

[74] In order to carry on the negotiation with greater secrecy, Renard's colleagues at the English court, who were found to intermeddle somewhat unnecessarily with the business, were recalled; and the whole affair was intrusted exclusively to that envoy, and to Granvelle, the bishop of Arras, who communicated to him the views of the emperor from Brussels.--"Et s'est resolu taut plus l'empereur rappeler voz collegues, afin que aulcung d'iceulx ne vous y traversa ou bien empescha s'y estans montrez peu affectionnez, et pour non si bien entendre le cours de ceste negociation, et pour aussi que vous garderez mieulx le secret qu'est tant requis et ne se pourroit faire, pa.s.sant ceste negociation par plusieurs mains." L'Eveque d'Arras a Renard, 13 septembre, 1553, Ibid., p. 103.

[75] "Pour la requerir et supplier d'eslire ung seigneur de son pays pour estre son mary, et ne vouloir prendre personnaige en mariaige, ny leur donner prince qui leur puisse commander aultre que de sa nation."

Amba.s.sades de Noailles, (Leyde, 1763,) tom. II. p. 234.

[76] "Le soir du 30 octobre, la reine fit venir en sa chambre, ou etoit expose le saint sacrement, l'amba.s.sadeur de l'empereur, et, apres avoir dit le _Veni creator_, lui dit qu'elle lui donnoit en face dudit sacrement sa promesse d'epouser le prince d'Espagne, laquelle elle ne changeroit jamais; qu'elle avoit feint d'etre malade les deux jours precedents, mais que sa maladie avoit ete causee par le travail qu'elle avoit eu pour prendre cette resolution." MS. in the Belgian archives, cited by Mignet, Charles-Quint, p. 78, note.

[77] "Qu'elle tenoit de dieu la couronne de son royaulme, et que en luy seul esperoit se conseiller de chose si importante." Amba.s.sades de Noailles, tom. II. p. 269.

[78] "Le dit Lieutenant a fait fondre quatre mil escuz pour chaines, et les autres mil se repartiront en argent, comme l'on trouvera mieulx convenir." Renard, ap. Tytler, Edward VI. and Mary, vol. II. p. 325.

[79] Strype, Memorials, vol. III. pp. 58, 59.--Holinshed, Chronicles, (London, 1808,) vol. IV. pp. 10, 34, 41.

[80] Strype, (Memorials, vol. III. p. 196,) who quotes a pa.s.sage from a MS. of Sir Thomas Smith, the application of which, though the queen's name is omitted, cannot be mistaken.

[81] "Si est-ce qu'elle verra a.s.sez par icelle sa ressemblance, la voyant a son jour et de loing, comme sont toutes peinctures dudict t.i.tian que de pres ne se recongnoissent." Marie, Reine de Hongrie, a l'Amba.s.sadeur Renard, novembre 19, 1553, Papiers d'Etat de Granvelle, tom. IV. p. 150.

It may be from a copy of this portrait that the engraving was made which is prefixed to this work.

[82] See the treaty in Rymer, Fdera, vol. XV. p. 377.

[83] "Par la," adds Noailles, who tells the story, "vous pouvez veoir comme le prince d'Espagne sera le bien venu en ce pays, puisque les enfans le logent au gibet." Amba.s.sades de Noailles, tom. III. p. 130.

[84] Holinshed, vol. IV. p. 16.--The accounts of this insurrection are familiar to the English reader, as given at more or less length, in every history of the period.

[85] "L'on a escript d'Espaigne que plusieurs sieurs deliberoient amener leurs femmes avec eulx pardeca. Si ainsi est, vostre Majeste pourra preveoir ung grand desordre en ceste court." Renard, ap. Tytler, Edward VI. and Mary, vol. II. p. 351.

[86] "Seullement sera requis que les Espaignolez qui suyvront vostre Alteze comportent les facons de faire des Angloys, et soient modestes, confians que vostre Alteze les aicara.s.sera par son humanite costumiere."

Ibid., p. 335.

[87] The particulars of this interview are taken from one of Renard's despatches to the emperor, dated March 8, 1554, ap. Tytler, England under the Reigns of Edward VI. and Mary, (vol. II. pp. 326-329,)--a work in which the author, by the publication of original doc.u.ments, and his own sagacious commentary, has done much for the ill.u.s.tration of this portion of English history.

[88] Florez, Reynas Catholicas, tom. II. p. 890.

[89] Philip would have preferred that Charles should carry out his original design, by taking Mary for his own wife. But he acquiesced, without a murmur, in the choice his father made for him. Mignet quotes a pa.s.sage from a letter of Philip to the emperor on this subject, which shows him to have been a pattern of filial obedience. The letter is copied by Gonzales in his unpublished work, Retiro y Estancia de Carlos Quinto.--"Y que pues piensan proponer su matrimonio con Vuestra Magestad, hallandose en disposicion para ello, esto seria lo mas acertado. Pero en caso que Vuestra Magestad esta en lo que me escribe y le pareciere tratar de lo que a mi toca, ya Vuestra Magestad sabe que, como tan obediente hijo, no he tener mas voluntad que la suya; cuanto mas siendo este negocio de importancia y calidad que es. Y asi me ha parecido remitirlo a Vuestra Magestad para que en toda haya lo que le pareciera, y fuere servido." Mignet, Charles-Quint, p. 76.

[90] "Higo en esto lo que un Isaac dexandose sacrificar por hazer la voluntad de su padre, y por el bien de la Iglesia." Sandoval, Hist. de Carlos V., tom. II. p. 557.

[91] A single diamond in the ornament which Philip sent his queen was valued at eighty thousand crowns.--"Una joya que don Filipe le enbiaba, en que avia un diamante de valor de ochenta mil escudos." Cabrera, Filipe Segundo, lib. I. cap. 4.

[92] Letter of Lord Edmund Dudley to the Lords of the Council, MS. This doc.u.ment, with other MSS. relating to this period, was kindly furnished to me by the late lamented Mr. Tytler, who copied them from the originals in the State Paper Office.

The young Lord Herbert mentioned in the text became afterwards that earl of Pembroke who married, for his second wife, the celebrated sister of Sir Philip Sidney, to whom he dedicated the "Arcadia,"--less celebrated, perhaps, from this dedication, than from the epitaph on her monument, by Ben Jonson, in Salisbury Cathedral.

[93] Cabrera, Filipe Segundo, lib. I. cap. 4.--Florez, Reynas Catholicas, tom. II. p. 873.--Memorial des Voyages du Roi, MS.

[94] "Y prevenida de que los Embajadores se quejaban, pretextando que no sabian si hablaban con la Princesa; levantaba el manto al empezar la Audiencia, preguntando _Soy la Princesa?_ y en oyendo responder que si; volvia a echa.r.s.e el velo, como que ya cessaba el inconveniente de ignorar con quien hablaban, y que para ver no necessitaba tener la cara descubierta." Florez, Reynas Catholicas, tom. II. p. 873.

[95] Letter of Bedford and Fitzwaters to the Council, ap. Tytler, Edward VI. and Mary, vol. II. p. 410.--Cabrera, Filipe Segundo, lib. I. cap. 4, 5.--Sepulvedae Opera, vol. II. pp. 496, 497.

[96] "Il appelle les navires de la flotte de vostre Majeste coquilles de moules, et plusieurs semblables particularitez." Letter of Renard, ap.

Tytler, Edward VI. and Mary, vol. II. p. 414.

[97] "L'ordre de la Jaretiere, que la Royne et les Chevaliers ont concludz luy donner et en a fait faire une la Royne, qu'est estimee sept ou huict mil escuz, et joinctement fait faire plusieurs riches habillemens pour son Altese." Ibid., p. 416.

[98] Salazar de Mendoza, Monarquia de Espana, (Madrid, 1770,) tom. II.

p. 118.--Amba.s.sades de Noailles, tom. III. pp. 283-286.--Sepulvedsae Opera, vol. II. p. 498.--Cabrera, Filipe Segundo, lib. I. cap. 5.--Leti, Vita di Filippo II., tom. I. p. 231.--Holinshed, vol. IV. p.

57.--Memorial des Voyages du Roi, MS.

[99] Strype, Memorials, vol. III. pp. 127, 128.

[100] The change in Philip's manners seems to have attracted general attention. We find Wotton, the amba.s.sador at the French court, speaking, in one of his letters, of the report of it, as having reached his ears in Paris. Wotton to Sir W. Petre, August 10, 1554, MS.

[101] According to Noailles, Philip forbade the Spaniards to leave their s.h.i.+ps, on pain of being hanged when they set foot on sh.o.r.e. This was enforcing the provisions of the marriage treaty _en rigueur_. "Apres que ledict prince fust descendu, il fict crier et commanda aux Espaignols que chascun se retirast en son navire et que sur la peyne d'estre pendu, nul ne descendist a terre." Amba.s.sades de Noailles, tom. III. p. 287.

[102] Leti, Vita di Filippo II., tom. I. pp. 231, 232.

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